Le poème, science inquiète
Revenir sur les pas qui murmurent des savoirs
Herbier, poison et antidote
L’ortie et la pariétaire

Des photos qui prennent leur bain au bord des pierres
l’été,
où le soleil et la chaleur aveuglent le blanc des cimes
et colorent le papier d’innatendu,
humilité imprévisible
Balades attentives,
appareil-passe muraille
Ciels et lits
des rivières
qui abreuvent et rendent clairs les chemins ,
depuis les yeux rases des guérisses (gerris),
qui nous mènent jusqu’aux orties